Archives par mot-clé : Réponses catholiques

REPONSES A VOS QUESTIONS

Chers Visiteurs, comment redevenir « pratiquant » lorsqu’on a tout oublié ?  Voici la réponse de

« Je suis chrétien de naissance et crois en Dieu mais non pratiquant. J’aimerais me rapprocher de Dieu et de devenir un catholique pratiquant mais je manque de beaucoup de renseignements notamment quand aller à l’église ? Dois-je me faire intégrer à l’église ? Ou puis je y aller quand bon me semble ? Et surtout quel sont les prières à réciter et combien de fois par jours ? »

Réponses CatholiquesTout d’abord, nous rendons grâce à Dieu pour le désir de l’auteur de la question de mieux Le connaitre et Le prions pour qu’Il se manifeste dans sa vie.

Une première manière de répondre est d’ordre ecclésial : où en est la personne en question dans son initiation à la vie chrétienne. Pour commencer, on n’est pas chrétien de naissance, on l’est par son baptême. Ce qui pose une première question : l’auteur de la question est-il bien baptisé (sans doute bébé, d’où le « chrétien de naissance ») et dans quelle confession chrétienne ? Catholique ? Autre ? S’il est catholique, a-t-il été au catéchisme, fait sa Première communion, sa Confirmation ?(…)

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REPONSES A VOS QUESTIONS

Ndla: Lu pour vous sur le site Réponses Catholiques

Je me permets de vous écrire car une question me préoccupe. J’ai fait baptiser ma fille samedi dernier. Le prêtre a prononcé le début de la formule de baptême « je te baptise au nom du père » mais s’est interrompu en me disant « rapprochez-vous » pour me demander de rapprocher la tête de ma fille qui n’était pas tout à fait au-dessus du baptistère, puis a repris la formule « au nom du fils, et du saint esprit …» La formule ayant été interrompu, et les mots « rapprochez-vous » insérés au milieu de la formule, je voulais savoir si le baptême était tout de même valide. Je ne remets pas en question les qualités de ce prêtre qui est par ailleurs assez âgé et très dévoué pour sa paroisse. Mais le baptême est un sacrement primordial dans la vie d’un chrétien.(…)

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REPONSE A VOS QUESTIONS

Chers Visiteurs, « pourquoi baptiser des enfants et exiger deux ans de catéchuménat pour les adultes? » Voici la réponse de

Réponses Catholiques

Question: « Pourriez-vous me dire pourquoi un enfant peut recevoir le baptême dès la naissance, mais pour un adulte il faille attendre 1 voire 2 ans? Dans la Bible il semble suffire de croire que Jésus est Dieu et Sauveur pour le recevoir. Si la raison est que les parents s’engagent pour l’enfant alors qu’il faut s’assurer que l’adulte pratique et reçoive une préparation solide de catéchisme, dans ma famille le baptême a toujours été une tradition sans que personne ne pratique ensuite. Aucun prêtre n’a jamais exigé que nous pratiquions ensuite pour recevoir le Sacrement.

RC: « C’est en effet problématique et les prêtres marchent sur des œufs. Mais c’est bien la règle : les parents qui font baptiser un enfant plus jeune que l’âge de raison s’engagent à lui donner une éducation religieuse. Concrètement, à ce qu’il soit catéchisé, qu’il pratique, qu’il fasse les sacrements d’initiation chrétienne : Première Communion et Confirmation.

Dans la pratique, les prêtres n’ont aucun moyen de vérifier a posteriori et, même dans des familles pratiquantes, les enfants ne font plus toujours leur Confirmation s’ils ne le souhaitent pas. C’est très grave mais c’est ainsi. Il arrive qu’un prêtre refuse de baptiser un enfant si les parents ne prennent pas cet engagement. Ca fait souvent scandale et le met dans une situation difficile. Qu’est-ce qu’il vaut mieux faire ? Ne pas brader le sacrement et refuser le baptême ou baptiser quand même en espérant que la grâce fasse son chemin on ne sait pas trop comment ? La réponse n’est pas simple. (…)

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Ndla: Bonjour à Tous. Aujourd’hui nous vous proposons cette question que beaucoup d’entre nous ont dû se poser.

Réponses catholiques

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« Attendre tout de soi ou de Dieu »

Question: « Sur Solfège sacré — Réponses catholiques (reponses-catholiques.fr), vous répondez : “C’est Dieu qui donne la vie et qui guérit”. Mais il ne guérit l’homme qu’au bout de son effort de s’améliorer, car, quel mérite il y aurait au pardon systématique dont a usé et abusé le pouvoir religieux, ce que vous appelez “l’église”? .Ne faut-il pas attendre tout de nous-même, sachant que nous sommes tous image et ressemblance de dieu ?

RC: « Voilà formulée de manière synthétique l’hérésie pélagienne, contre laquelle a tellement bataillé St Augustin. « Mérite » ? Mais Dieu ne donne pas le Salut sur le mérite, nous sommes tous pécheurs. Aucun de nous ne mérite sa miséricorde. Et oui, Il use et abuse du pardon, donné par la médiation de l’Eglise. Comme ça, gratuitement. De façon totalement imméritée.

La nature et la grâce, vieux débat théologique, donc, depuis au moins St Augustin. Si certains ont radicalisé la grâce, comme les Protestants et les Jansénistes, d’autres l’ont fait pour la nature, comme les Pélagiens. Ca conduit droit à la franc-maçonnerie, puis à l’athéisme. Si nous devons attendre tout de nous-mêmes, il n’y a pas besoin de Dieu et on finit par ne plus croire en lui. Ce qui n’empêche pas d’aller au devant de grands ennuis car personne n’est le maitre de sa propre vie. (…) »

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REPONSES A VOS QUESTIONS

REPONSES CATHOLIQUES

La théologie sacramentaire du Concile de Trente est-elle dépassée?

Question: A partir de septembre, notre secteur paroissial de 40 clochers et 10 000 habitants (le double en été) n’aura plus de curé. Un prêtre viendra certains dimanches. La théologie sacramentelle héritée du Concile de Trente est basée sur la possibilité pour les chrétiens d’avoir accès aux sacrements. N’est-on pas obligé, aujourd’hui, de dire : théoriquement ?

Réponse: « Nous dirions plutôt « en principe », plutôt que « théoriquement ». Car ce n’est pas une abstraction, c’est un idéal concret, mais qui bute sur des obstacles bien réels. Nous comprenons que la situation soit vécue douloureusement par les paroissiens.

Mais le Concile de Trente devait faire face aux mêmes difficultés qu’aujourd’hui, même si ce n’était pas toujours aux mêmes endroits.(…)

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Ndla: Bonjour à Tous. Aujourd’hui nous vous proposons cette question que beaucoup d’entre nous ont dû se poser.

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« Les sacrements lefebvristes  sont-ils réellement illicites?« 

« https://www.reponses-catholiques.fr/les-sacrements-de-la-fraternite-st-pie-x-sont-ils-licites/ Dans cette réponse vous dites qu’il n’est pas licite de communier à une messe de la Fsspx. Pourtant, non seulement mon prêtre mais aussi mon évêque, m’autorisent à aller aux messes lefebvristes s’il n’y a pas d’autres messes de forme extraordinaire (selon ma “sensibilité”).  L’argument étant que le statut de la fsspx est si particulier que rien n’indique qu’il est formellement interdit de s’y rendre tant qu’on ne partage pas leurs erreurs: – elle en effet est considérée comme catholique et non schismatique (de l’aveu même de Benoît XVI ou François si ma mémoire est bonne: c’est une congrégation doctrinale qui s’occupe des discussions avec elle et non celle pour l’unité des chrétiens) – elle a été sanctionnée pour des problèmes d’obéissance mais les sanctions ont depuis été levées – elle n’est pas reconnue en pleine communion avec l’Église (terme floue pour moi) mais possède la juridiction romaine pour deux sacrements (soit on est hors de la communion de l’Église soit on l’est totalement non? Quel principe est il invoqué pour l’être “à moitié”?); etc. Avez-vous un document du Pape interdisant explicitement de se rendre et de communier à une messe lefebvriste svp? Ou la situation est-elle vraiment si ambiguë? Par ailleurs, étant donné la difficulté de s’y retrouver actuellement en matière doctrinale, pourriez-vous m’indiquer une bonne formation en théologie ou en droit canon pour y voir plus clair dans l’Église aujourd’hui s’il vous plaît? »

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« La foi catholique est-elle fondée sur l’Ecriture?« 

De nombreux chrétiens lisent la Bible et en particulier le Nouveau Testament et se rendent compte que bien des traditions et même des enseignements de L’Eglise n’ont pas de fondement scripturaire. On se doute aisément que la “cappa magna” de certains cardinaux est une mondanité héritée de la Renaissance et non une inspiration de l’Esprit. Mais qu’en est-il de certains sacrements ou de la hiérarchie ecclésiale ?

RC: « On peut toujours trouver des dévotions privées qui n’ont pas de fondement scripturaire, et encore ! Mais on ne peut pas dire cela de l’Enseignement de l’Eglise. Il en a toujours un, même si c’est indirect. Cf. notre article : Tradition et Ecriture — Réponses catholiques (reponses-catholiques.fr)

La Lettre à Diognète, datant de la fin du Ier siècle ou du début de IIe, explique que les chrétiens n’ont pas d’habit particulier et qu’ils sont habillés comme leurs concitoyens. L’Ecriture nous dit de ne pas faire scandale (Lc 17, 1) et, s’agissant plus spécifiquement de l’habillement, St Paul encourage à respecter les usages conformes aux bonnes mœurs de son temps. D’où ses recommandations en 1 Co 11 : une femme sans manteau (et non voile, cf notre article : Couverture des femmes à la messe — Réponses catholiques (reponses-catholiques.fr)) n’est pas habillée selon les bonnes mœurs de Corinthe au Ier siècle. Par conséquent, si les souverains de la Renaissance portaient de grandes capes, porter une cappa magna, c’était la façon de suivre St Paul pour les Papes… Et ce ne l’est plus aujourd’hui, puisque cela fait longtemps que les Papes ne la portent plus et qu’’elle a été supprimée pour les cardinaux.(…)

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Pourquoi l’Eglise autorise-t-elle la dévotion à des reliques non authentifiées?

Saint Pierre

J’ai quelques questions concernant la vénération des reliques : 1) Tout d’abord, je ne doute pas de la véracité de la pratique, mais quelles sont les sources bibliques encourageant cette pratique ? 2) Pour certaines reliques, l’authenticité n’est pas toujours très fiable et parfois pas forcément attestée (les clous de la Sainte Croix, morceau de la Sainte Croix, la Couronne d’Épines…ou parfois certains ossements de saints et de saintes dont on ne sait pas vraiment si ces restes sont bien les leurs, comme les reliques des Rois Mages par exemple qui se trouvent d’ailleurs à plusieurs endroits, à Cologne notamment ou encore au Mont Athos ou d’autres un peu plus farfelues comme le Saint Prépuce, les Saintes Dents, le Saint Berceau ou encore la Ceinture de la Vierge), comment se fait-il donc que l’Église autorise ou laisse se faire, la vénération de reliques dont la véracité n’est pas sûre ? (1/2)

RC: « Venons-en à l’authenticité des reliques. Tout d’abord, comme dit au 1e volet de cette question, il est normal d’avoir des reliques de la même personne ou du même objet à plusieurs endroits, parce qu’elles étaient tout simplement partagées. A ce propos, signalons que, contrairement à un cliché tenace, non, tous les morceaux de la Vraie-Croix connus ne rempliraient pas une forêt entière. Ce sont le plus souvent de petites échardes et Famille chrétienne avait présenté un calcul réalisé par des chercheurs il y a quelques années. Il déterminait que les morceaux de la Vraie-Croix connus, y compris ceux qui ont été répertoriés à un moment de l’Histoire mais ont disparu depuis, ne représentent que 36% de la taille d’une croix de l’Antiquité. Les moqueries contre les reliques, qu’elles soient d’origine protestante ou anti-chrétiennes sont trop souvent adoptées par les catholiques alors qu’elles ne sont souvent pas plus fondées que la provenance qu’elles critiquent. (…)

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Que faire pour accompagner un mourant ne pouvant se confesser?

Les prêtres se font rares en zone rurale et il devient parfois difficile d’en trouver un pour administrer les derniers sacrements. Une personne assistant un mourant a reçu de sa part l’aveu d’une faute grave. La personne récite avec l’agonisant le Notre Père en disant deux fois la phrase : “Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés”. Du point de vue de l’Eglise, il n’y a pas là un sacrement du pardon. Mais du point de vue de Dieu ?

RC: « Faute de pouvoir recevoir les sacrements, quels qu’ils soient, l’Eglise nous enseigne que le sacrement du désir est un premier pas spirituel pour bénéficier de la grâce d’un sacrement. Par exemple, lorsqu’une personne décède avant d’être baptisée, que ce soit un catéchumène ou un petit enfant que les parents avaient l’intention de faire baptiser prochainement, le défunt est considéré comme chrétien et a des funérailles chrétiennes. On a aussi beaucoup parlé de la communion du désir pour les personnes ne pouvant pas communier, y compris pendant les confinements où les cultes sont interdits. Idem pour le sacrement de Réconciliation : le Pape François avait, en particulier, proposé aux fidèles de faire un examen de conscience et de réciter leur Acte de contrition avant Pâques 2020, alors que les messes étaient interdites un peu partout dans le monde. (…)

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Ndla: Bonjour à Tous. Aujourd’hui nous vous proposons cette longue question partagée par le site

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Peine de mort

« Sur l’article https://www.reponses-catholiques.fr/pourquoi-les-catholiques-defendent-le-pape/ Je pense également que certaines positions du Pape sont nouvelles par rapport à ce qu’a enseigné le Magistère avant lui, justement sur les deux exemples que vous avez repris. 

  • Premier point : la peine de mort.(…)
  • Deuxième point : la communion des divorcés-remariés. (…)

Je suis désolé pour la longueur des questions. Merci encore pour la pédagogie dont vous faîtes preuve, c’est bien appréciable.

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