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FC: Le 2 octobre, Emmanuel Macron doit préciser comment il entend lutter contre le séparatisme islamiste, ce cancer qui ronge la société en créant des zones de non-droit.
Ce qui frappe, c’est que ce discours présidentiel intervient une semaine après le dernier attentat islamiste en date, à Paris. Le même jour où s’éteignait l’écrivain Denis Tillinac, 73 ans, auteur notamment du Dieu de nos pères (Bayard éditions), dans lequel il prenait la défense du catholicisme, avec cette mélancolie d’une civilisation en voie de disparition.
Un terreau favorable
Pourquoi relier ces deux événements ? Parce que l’attachement à la religion catholique, à sa culture, est encore partagé par nombre de nos contemporains – pour quelques années encore. Signe que la société française comporte quelques solides anticorps à cette idéologie meurtrière qui gangrène certains quartiers. Ainsi, selon un récent sondage du Monde, 56 % des Français connaissent encore le Notre Père, et 25 % ont un chapelet.
C’est donc un terreau susceptible de voir refleurir quelques jeunes pousses, et qui mérite qu’on y travaille activement. Les gouvernants d’abord, en reconnaissant qu’il ne suffira pas de combattre l’islamisme par la force – certes nécessaire. Car cela ne chassera pas la séduction maléfique exercée par l’islamisme sur de jeunes esprits, via internet notamment.
Au bout du compte, on ne détruit bien que ce que l’on remplace. L’homme est un être par nature religieux, capax Dei – capable de Dieu. Il ne sera donc pas possible de déraciner cette aspiration spirituelle en lui opposant la fragile « laïcité » d’un monde matérialiste… Mieux vaut miser sur un Dieu d’amour.(…)
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