REPONSE A VOS QUESTIONS

Ndla: Bonjour à Tous. Aujourd’hui nous vous proposons cette question que beaucoup d’entre nous ont dû se poser.

Réponses catholiques

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Que faire pour accompagner un mourant ne pouvant se confesser?

Les prêtres se font rares en zone rurale et il devient parfois difficile d’en trouver un pour administrer les derniers sacrements. Une personne assistant un mourant a reçu de sa part l’aveu d’une faute grave. La personne récite avec l’agonisant le Notre Père en disant deux fois la phrase : “Pardonne-nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés”. Du point de vue de l’Eglise, il n’y a pas là un sacrement du pardon. Mais du point de vue de Dieu ?

RC: « Faute de pouvoir recevoir les sacrements, quels qu’ils soient, l’Eglise nous enseigne que le sacrement du désir est un premier pas spirituel pour bénéficier de la grâce d’un sacrement. Par exemple, lorsqu’une personne décède avant d’être baptisée, que ce soit un catéchumène ou un petit enfant que les parents avaient l’intention de faire baptiser prochainement, le défunt est considéré comme chrétien et a des funérailles chrétiennes. On a aussi beaucoup parlé de la communion du désir pour les personnes ne pouvant pas communier, y compris pendant les confinements où les cultes sont interdits. Idem pour le sacrement de Réconciliation : le Pape François avait, en particulier, proposé aux fidèles de faire un examen de conscience et de réciter leur Acte de contrition avant Pâques 2020, alors que les messes étaient interdites un peu partout dans le monde. (…)

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