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SAINT HUBERT

Ndla: Bonjour à tous, aujourd’hui deux de nos paroisses sont à l’honneur. Il s’agit de Obervisse et Volmerange les Boulay, dont les églises sont dédiées à Saint Hubert.

Mais que s’avons nous de ce saint, hormis qu’il veille sur les foyers de deux nos villages ? Voici ce qu’en dit le site de référence, Nominis.

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Saint Hubert [Évêque de Tongres-Maastricht-Liège (+ 727)]

« On le dit apparenté à Charles Martel. Il est vrai qu’on le trouve à la cour de Pépin d’Hérstal, maire du Palais. Il épouse Floribanne, la fille du roi Dagobert, et les chroniqueurs nous disent qu’il était connu par « les folles joies de sa vie mondaine » peu édifiante, jusqu’au jour où la grâce de Dieu et les conseils de saint Lambert, évêque de Maestricht, l’entraînèrent vers la sainteté. La tradition légendaire raconte cette belle histoire (…) »

Lire l’intégrité de la biographie en cliquant sur l’image.

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  • Eglise d’Obervisse

    Obervisse: (Source Wikipedia) L’église paroissiale, dédiée à saint Hubert, est édifiée au XIXe siècle. Une réplique de la grotte de Lourdes, ainsi qu’un calvaire sont érigés en bordure de la route vers Boulay.

  • Volmerange les Boulay: (Source Shanied) Initialement la paroisse de Volmerange était une annexe de celle de Condé-Northen et le XVIIe et XVIIIe siècle furent des temps de rudes combats pour obtenir le détachement de l’église mère sous prétexte d’éloignement, de chemins avec des ruisseaux infranchissables mais aussi de différence de langue. Ils obtinrent enfin gain de cause en 1750 et même devinrent église-mère de Helstroff de 1808 à 1844.
    Volmerange les B

    L’église a été construite en 1730 et restaurée en 1774 mais sa situation causait problème parce qu’une maison voisine ne laissait qu’un passage d’un mètre pour entrer et sortir de l’édifice; la commune put l’acheter et la détruire pour dégager l’église et doter le village d’une place. En 1899, on installa des orgues Dalstein-Haerpfer. Un des premiers curés de Volmerange, François HILGERT supporta vaillamment la révolution: prêtre réfractaire, il fut arrêté et transféré aux pontons de Rochefort jusqu’en 1795. Relâché, il reprit son ministère clandestin et fut à nouveau arrêté jusqu’à l’an VIII; il reprit sa paroisse en 1802.