Ndla: Chers Amis, le week end passé, les bénévoles du « Fort aux fresques » de Hestroff, n’ont pas ménagé leur temps et leurs efforts pour faire découvrir « leur fort » aux visiteurs, en essayant de le faire revivre « comme à l’époque », grâce aux figurants costumés, à la reconstitution d’une zone de bivouac, aux saveurs cuisinées par la « roulante » et aux visites guidées.
Au cours de ces dernières, les visiteurs ont pu découvrir, blottie au fond d’un boyau, la chapelle, lieu de paix et de recueillement situé à 25 mètres sous terre.
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(Copié pour vous sur Facebook): « Pendant la drôle de guerre les seuls rassemblements de tous les soldats étaient pour la célébration de la messe. Dans les ouvrages l’aumônier venait avec son autel portatif et disait la messe dans une galerie.
Au fort aux Fresques, l’équipage avait son curé, le sergent-radio Jean-Pierre Obry qui avait installé un autel fixe dans la galerie Pasteur, juste à coté de l’infirmerie.
En période calme, il célébrait la messe à l’église d’Hestroff pour tous les soldats du secteur.
Le chanoine Obry fut archiviste à l’évêché de Metz.
La croix que l’on voit sur l’image de l’époque, avait été mise en sûreté dans le lavoir du village.
Pendant nos évènements, Pierre RODRIGUEZ, notre aumônier reconstituteur des Diables Bruns , officie avec l’accord du prêtre du diocèse de Béziers. Il procède à une petite reconstitution de bénédiction. »
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« La petite chapelle Notre-Dame-des-Bois, située à côté de l’étang de l’Erbsenweiher, L’autel de cette chapelle de grès est garni d’un tabernacle en pierre renfermant un coffre en fer, un crucifix et quatre chandeliers. Après la dernière guerre, la toiture de l’édifice religieux était endommagée, les bancs, les chandeliers, les objets de culte ainsi que la statue de Notre Dame avaient disparus. Les murs à l’intérieur étaient couverts d’inscriptions : les militaires de la Ligne Maginot y avaient gravé leurs noms. La chapelle avait même servi à abriter leurs chevaux. Lors de la rénovation de 1974, une nouvelle statue de la Vierge fut bénie et la petite cloche retrouvée et réparée. » (Source https://www.parc-vosges-nord.fr)