Archives de catégorie : Patrimoine

SAINT MARTIN DE TOURS

Ndla: Bonjour à Tous, aujourd’hui deux de nos clochers sont à l’honneur, Coume et Varize, puisqu’ils fêtent leur Saint Patron commun, Saint Martin de Tours. Nous savons tous que Saint Martin à partagé son manteau avec un pauvre. Mais que savons nous de plus sur ce Saint ? Le site Nominis va nous aider à parfaire nos connaissances.

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Saint Martin de Tours, évêque (✝ 397)

« Les Églises d’Orient l’appellent aussi « saint Martin le Miséricordieux ». Il est né en Pannonie, l’actuelle Hongrie, sur les frontières de l’empire romain où son père était en garnison. A 15 ans, il est soldat car la loi romaine obligeait les fils de soldats à s’enrôler dans l’armée. Il est muté en Gaule et c’est là, qu’à Amiens, il rencontre le pauvre grelottant à qui il donne son manteau (*) et dont il apprend durant la nuit que c’est le Christ qui lui a fait cette demande. Il hésitait à devenir chrétien, il s’y décide enfin. Il quitte l’armée pour rejoindre saint Hilaire à Poitiers. Avec lui, il fonde le premier monastère des Gaules, à Ligugé, en Poitou.(…) »

Lire la suite de la biographie en cliquant sur ce lien:

Nota: Nous accueillerons avec joie toutes informations, autres que celles partagées par Wikipédia, sur l’histoire de nos églises. Alors, n’hésitez pas à nous contacter.

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  • Varize-Vaudoncourt: (Source Wikipedia)
    • Possession de l’abbaye de Sainte-Glossinde de Metz dont la seigneurie dépendait de Lorraine et de Luxembourg. Ancien fief du duché de Lorraine et ancienne seigneurie qui sous la châtellenie de Boulay, comprenait trente-deux villages ou hameaux. Était également siège d’un archiprêtré qui dépendait de l’archidiaconé de Marsal. Varize fut archiprêtré jusqu’à la Révolution. Fut également le siége d’une cure dépendant de l’abbaye Saint-Vincent de Metz, qui avait pour annexes Bannay, Brouck, Halling, Helstroff, Itzing, Loutremange, Macker, Morlange et Vaudoncourt. En 1756 Varize est citée comme étant un « village de Lorraine allemande »18. De 1790 à 1801, Varize était chef-lieu d’un canton du district de Boulay qui comprenait les communes de Bannay, Bionville, Brouck, Condé-Northen, Halling, Helstroff, Landonvillers, Loutremange, Macker, Marange-Zondrange, Momerstroff, Morlange, Varize, Vaudoncourt et Volmerange.
    • Vaudoncourt est un ancien village d’Empire qui dépendait de la seigneurie de Raville. Il fut cédé à la France par l’Impératrice-Reine le 16 mai 1769. Ce village fut annexe de la paroisse de Varize et fit partie du bailliage de Boulay (coutume de Luxembourg).La commune de Vaudoncourt fait partie du canton de Varize de 1793 à 1801 puis du canton de Pange jusqu’à son rattachement à Varize en 197319. Vaudoncourt avait pour annexes le hameau de Léoviller et la ferme de Plappecourt.

SAINT RUF

Ndla: Chers Amis, aujourd’hui une de nos paroisses est à l’honneur. Il s’agit de Téterchen dont l’église est dédiée à Saint Ruf (Ruf, Ruffe ou Rufus).

Eglise Saint Ruf – Téterchen

Mais que s’avons nous de ce saint, hormis qu’il veille sur les foyers de ce village situé en limite de notre Archiprêtré? Voici ce qu’en dit le site de référence, Nominis.

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Saint Ruf , évêque de Metz (IVe siècle)

9ème évêque de Metz: Rufe (ou Ruffus) – Au IVe siècle, Rufe sera inhumé dans la grotte de saint Clément après avoir occupé le siège d’évêque de Metz durant 29 ans, aux dires de Martin Meurisse, historien des évêques de Metz au XVIIe siècle.
Drogon, fils de Charlemagne et 40ème évêque de Metz, au IXe siècle, fera la translation des restes de saint Rufe à Oternheim, diocèse de Worms, en Allemagne. Sa mémoire est fêté le 7 novembre. On ne sait rien de sa vie.
(source: diocèse de Metz)

 

SAINT HUBERT

Ndla: Bonjour à tous, aujourd’hui deux de nos paroisses sont à l’honneur. Il s’agit de Obervisse et Volmerange les Boulay, dont les églises sont dédiées à Saint Hubert.

Mais que s’avons nous de ce saint, hormis qu’il veille sur les foyers de deux nos villages ? Voici ce qu’en dit le site de référence, Nominis.

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Saint Hubert [Évêque de Tongres-Maastricht-Liège (+ 727)]

« On le dit apparenté à Charles Martel. Il est vrai qu’on le trouve à la cour de Pépin d’Hérstal, maire du Palais. Il épouse Floribanne, la fille du roi Dagobert, et les chroniqueurs nous disent qu’il était connu par « les folles joies de sa vie mondaine » peu édifiante, jusqu’au jour où la grâce de Dieu et les conseils de saint Lambert, évêque de Maestricht, l’entraînèrent vers la sainteté. La tradition légendaire raconte cette belle histoire (…) »

Lire l’intégrité de la biographie en cliquant sur l’image.

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  • Eglise d’Obervisse

    Obervisse: (Source Wikipedia) L’église paroissiale, dédiée à saint Hubert, est édifiée au XIXe siècle. Une réplique de la grotte de Lourdes, ainsi qu’un calvaire sont érigés en bordure de la route vers Boulay.

  • Volmerange les Boulay: (Source Shanied) Initialement la paroisse de Volmerange était une annexe de celle de Condé-Northen et le XVIIe et XVIIIe siècle furent des temps de rudes combats pour obtenir le détachement de l’église mère sous prétexte d’éloignement, de chemins avec des ruisseaux infranchissables mais aussi de différence de langue. Ils obtinrent enfin gain de cause en 1750 et même devinrent église-mère de Helstroff de 1808 à 1844.
    Volmerange les B

    L’église a été construite en 1730 et restaurée en 1774 mais sa situation causait problème parce qu’une maison voisine ne laissait qu’un passage d’un mètre pour entrer et sortir de l’édifice; la commune put l’acheter et la détruire pour dégager l’église et doter le village d’une place. En 1899, on installa des orgues Dalstein-Haerpfer. Un des premiers curés de Volmerange, François HILGERT supporta vaillamment la révolution: prêtre réfractaire, il fut arrêté et transféré aux pontons de Rochefort jusqu’en 1795. Relâché, il reprit son ministère clandestin et fut à nouveau arrêté jusqu’à l’an VIII; il reprit sa paroisse en 1802.

 

SUR LA ROUTE DE NOTRE PATRIMOINE RELIGIEUX

Ndla: Chers Amis, pour débuter cette nouvelle semaine de vacances, nous vous proposons de visiter une perle de notre patrimoine religieux. Des images transmises par notre envoyée spéciale en Ile de France.

Meaux - La cathédrale Saint Etienne (© toutenphoto)
https://www.france-voyage.com/
Le chœur – Photo S2M

Source https://fr.pickture.com/ : « Erigée au coeur de la cité médiévale de Meaux, l’impressionnante cathédrale Saint-Etienne est considérée depuis longtemps comme le plus bel édifice religieux de tout le pays Briard. Sa construction s’étend sur près de quatre siècles, de 1170 à 1560.

Le jugement dernier – Photo S2M

Parmi les éléments incontournables de la cathédrale, on retiendra surtout l’ensemble des tympans sculptés. Ceux de la façade occidentale sont dédiés à Saint-Jean-Baptiste (nord), à la Vierge (sud) ou représente le Jugement Dernier(centre). Les façades de transepts sont elles dédiées à la vie de Saint-Etienne,

Photo S2M

 Avec une construction s’étalant sur près de 400 ans, la cathédrale Saint-Etienne de Meaux reste un catalogue assez impressionnant des variations de l’art gothique en France : du gothique classique des parties de la nef les plus proches du transept, au gothique rayonnant du chœur et au gothique flamboyant de la grande façade occidentale. »

Pour plus d’informations: https://fr.wikipedia.org/wiki/Cath%C3%A9drale_Saint-%C3%89tienne_de_Meaux

BOULAY: FÊTE DE LA CROIX GLORIEUSE

https://www.patrimoine-religieux.fr/

Ndla: Chers Amis, aujourd’hui 14 septembre, une de nos petites chapelles est à l’honneur. En effet, le chapelle de la Sainte Croix de Boulay est à l’honneur puisque nous fêtons aujourd’hui, la Croix Glorieuse. Tournons nous vers le site Nominis pour lire ce qui est écrit sur cette fête.

Nominis: « Quand, à Jérusalem, la reine sainte Hélène, mère de l’empereur Constantin, fut convaincue d’avoir retrouvé sur le Mont Calvaire la vraie croix du Christ, elle fit édifier en ce lieu, avec l’aide de son fils, une basilique englobant le Calvaire et le Saint Sépulcre. Cette basilique qui eut pour nom « Résurrection » fut consacrée un 14 septembre. Par la suite, ce jour fut choisi pour célébrer une fête qu’on appela « Exaltation de la précieuse et vivifiante Croix » parce que son rite principal consistait en une ostension solennelle d’une relique de la vraie croix. Ce geste manifestait devant tous que la Croix est glorieuse parce qu’en elle la mort est vaincue par la vie.(…)

Lire la suite de l’article en cliquant sur l’image:

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Historique: (source petit-patrimoine.com) « Elle est au carrefour de la rue de Saint-Avold, de la rue du Général Newinger et de la rue des Ducs de Lorraine.
Cette chapelle date de 1713 et remplace un édifice attesté avant 1544. C’est Nicolas Mohr, un ermite, qui fit construire à la fois un ermitage et la chapelle. L’ermitage, abandonné en 1840, fut remplacé en 1933 par la gendarmerie. Ce petit édifice aux ouvertures plein cintre montre un calvaire en façade au dessus de l’entrée, justifiant son nom de Sainte-Croix. La rive de toit en billettes est remarquable. Un clocher couvert d’ardoises domine cette façade.
A l’intérieur les murs accueillent diverses statues et un Sacré-Cœur de Jésus domine le maître-autel. A noter le petit édifice attenant à la chapelle et de même style, sert de sacristie. »

NOS EGLISES DES CARAÏBES #4

Ndla: Chers Amis, nous poursuivons notre périple dans le collier caraïbéen en vous présentant aujourd’hui, une nouvelle de ses perles, toujours blottie au bord de l’eau.

La perle du jour: Notre Dame de la Nativité de Ducos

Église Notre Dame de la nativité de Ducos en Martinique

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L’église Notre Dame de la Nativité, située dans la ville de Ducos en Martinique, est un monument emblématique pour son histoire riche et son architecture impressionnante.

Construite pour remplacer une chapelle plus ancienne qui ne pouvait plus accueillir le nombre croissant de fidèles, son architecture reflète les styles gothique et colonial, avec des éléments distinctifs qui la rendent unique.

Sa façade est ornée de détails gothiques, avec de grandes portes en bois sculpté et des vitraux colorés qui ajoutent une touche de majesté. Le clocher, visible de loin, est une véritable icône de Ducos.

A l’intérieur le plafond de bois, réalisé en 1877, est un modèle unique en Martinique, représentatif de l’artisanat du 19e siècle. La nef qu’en à elle, accueille  fresques et des statues religieuses, ainsi qu’un autel magnifiquement décoré.

Photo TL
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Photo TL
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Paroissiennes en tenue traditionnelle pour la Nativité de la Vierge Marie. TL

BANNAY ET LA NATIVITE DE LA VIERGE MARIE

Source Wikipedia

Ndla: Bonjour à Tous, aujourd’hui, 8 septembre, une de nos petites chapelles est à l’honneur. En effet aujourd’hui,  la chapelle de Bannay est à l’honneur puisqu’elle est dédiée la Nativité de la Vierge Marie, fêtée ce jour. Tournons nousvers le site Nominis pour lire ce qui est écrit au sujet de cette fête.

« Les évangélistes ne nous disent pas où est née Marie. On sait seulement qu’elle était parente d’Élisabeth qui habitait en Judée. Il n’est donc pas impossible qu’elle soit elle-même originaire de Jérusalem comme le veut une antique tradition dont on trouve trace dans l’évangile apocryphe de Jacques, qui nous parle des parents de la Vierge, Joachim et Anne Il existait également et très anciennement, à Jérusalem, une maison appelée « la Maison d’Anne. » Près de cette maison fut érigée une église dont la dédicace eut lieu un 8 septembre. L’anniversaire de cette dédicace fut commémoré chaque année. (…)

Lire la suite de l’article en cliquant sur l’image:

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Historique: Malgré nos recherches nous n’avons que peu d’information sur cette petite chapelle, si ce n’est que ces quelques lignes diffusé par la Shan(*):  » (…) La particularité de Bannay est d’avoir été une dépendance espagnole jusqu’en 1769, date d’une convention avec le roi de France; cela faisait dire aux gens de Morlange qui devaient se rendre à l’église de Varize qu’ils devaient « traverser l’Espagne ». Sans qu’on en connaisse la raison, le village est construit sur une seule rive de la Nied et la partie la plus proche de la rivière a été détruite pendant la dernière guerre.
Si le village a toujours été communauté indépendante, il n’a jamais été paroisse mais a toujours été annexe de celle de Varize; autour de cette église dans le cimetière paroissial, Bannay dispose d’un espace réservé à ses morts. Par contre le village possède une chapelle dédiée depuis le XVIIIe siècle à St Hubert. Anciennement cette chapelle était bénéficiale et régulièrement on y nommait des chapelains qui récoltaient les revenus.(…).

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Ndla: Nous rappelons à nos lecteurs que nous sommes preneurs de toutes informations sur l’historique et le patrimoine religieux de nos village.

 

NOS EGLISES DES CARAÏBES #3

Ndla: Chers Amis, nous poursuivons notre périple dans le collier caraïbéen en vous présentant aujourd’hui, une nouvelle de ses perles, toujours blottie au bord de l’eau.

La perle du jour: La Cathédrale Notre Dame de l’Assomption, de Saint Pierre

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« Dans la catégorie des témoins d’histoire, la cathédrale Notre dame de l’Assomption, à Saint-Pierre, a gagné ses galons de monument refuge, résilient et, en un sens, inaltérable. »

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Son histoire est précoce, et intensément liée à celle de l’île. La fameuse chapelle du Mouillage, dressée dès 1654 , accueille déjà tout ce que compte le petit bourg de fervents catholiques. Malheureusement, prise par la tourmente de l’histoire colonial elle  la fureur des canons anglais, dès 1667. Rebâtie, elle est  rebaptise en 1694,  Notre-Dame du Bon Port, protectrice des marins.

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Au milieu du XIXe que se joue sans doute l’acte le plus important de son histoire : La Martinique est élevée en diocèse. L’évêque de l’île, fraîchement nommée, se cherche un siège épiscopal. Les travaux de la cathédrale de Fort de- France, non terminés. Saint-Pierre devient donc refuge sacré, en 1853.

Façade ruinée de la cathédrale après l'éruption du 20 mai 1902.Malheureusement, cinquante ans plus tard, l’édifice ne  sera pas épargnée par la colère de la Montagne pelée. Nous sommes le 8 mai 1902, jour de l’Assomption. la population, fervente et joyeuse, emplit la Cathédrale.  En une explosion sourde, la montagne explose et se déverse en quelques seconde sur la la ville, balayant toute vie. Ne subsiste alors que ruines fumantes. La cathédrale n’est plus que ruine. Seules les bases de son premier niveau émergent de la désolation.

Pour plus de détails cliquer sur la photo ci-dessus

 

 

 

 

 

NOS EGLISES DES CARAÏBES #2

Ndla: Chers Amis, nous poursuivons notre périple dans le collier caraïbéen en vous présentant aujourd’hui, une nouvelle de ses perles, toujours blottie au bord de l’eau.

La perle du jour: L’église Saint Henri, aux Anses d’Arlet

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La présence sur le site d’une chapelle Saint Antoine de Padoue, est mentionné dans un acte baptismal de 1671.

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Cet édifice aurait été détruit en 1762 par les anglais puis reconstruit grâce aux dons d’un riche habitant de la paroisse, Henri Larcher. L’église fut ensuite placée sous le vocable de saint Henry en reconnaissance de son bienfaiteur.

Le 21 octobre 1817 l’édifice est partiellement détruit par un cyclone. L’année suivante, le gouvernement accorde une aide d’un montant de 12 540 livres coloniales pour sa réparation. En 1856 le clocher et l’avant corps seront reconstruits et une nouvelle sacristie ajoutée en 1874. Enfin, deux verrières seront réalisées pour le chœur en 1875.

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 Lors d’une visite pastorale en 1944, il est noté le besoin d’effectuer des réparations et des travaux pour augmenter la capacité d’accueil en relation avec le nombre d’habitants de la paroisse (4 000 habitants).  En 1956, la municipalité entreprend la reconstruction du clocher en agrandissant l’église par l’ajout des bas-côtés. Pour cela, les murs latéraux de la nef sont remplacés par des colonnes.

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Malheureusement, l’édifice ne sera pas préservé pour les éléments puisqu’il sera touché par le cyclone Dean du 7 août 2007, qui soufflera sa couverture, puis par le Séisme du 29 novembre 2007 qui occasionnera d’importantes fissures sur le clocher et le massif d’entrée. En 2009, d’importants travaux sont alors entrepris pour reconstruire le clocher, restaurer sa charpente et sa couverture par les « Monuments Historiques ».

 

DENTING: MARTYRE DE SAINT JEAN BAPTISTE

Ndla: Chers Amis, aujourd’hui un des clochers de notre Archiprêtré est à l’honneur. En effet, le calendrier liturgique célèbre aujourd’hui, le Martyre de Saint Jean Baptiste à qui est dédiée l’église de Denting.

Nous connaissons tous le cousin de Jésus et les raisons de sa mort. Mais voici l’article que réserve les site Nominis à ce martyre.

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Martyre de saint Jean Baptiste (Ier siècle)

Nominis: « Jean, le dernier Prophète, n’a jamais mâché ses mots, pas plus quand il traitait les pharisiens de « races de vipères » sur les bords du Jourdain, que lorsqu’il rappelait à Hérode Antipas qu’il n’avait pas le droit de vivre avec Hérodiade, la femme de son frère Phlippe. A présent, il est en prison, car on n’a pas le droit de faire impunément des reproches publics aux grands de ce monde. Il sait qu’Hérodiade lui en veut à mort. Mais ce n’est pas ce qui le préoccupe. C’est Jésus. Est-il bien le Messie que lui, Jean, annonçait? A-t-il eu raison de lui faire confiance, de lui donner ses propres disciples? Sa conduite est si étrange. « Il tient dans sa main la pelle à vanner. » Pourquoi ne vanne-t-il pas avec gloire et majesté? La réponse est venue. Aux disciples de Jean venus l’interroger, Jésus a répondu: « Allez annoncer à Jean ce que vous voyez et entendez: les aveugles voient, les boiteux marchent … »

Jean n’a plus de doutes. Il peut à présent rendre le dernier témoignage. Il a bien rempli sa mission. C’est l’anniversaire d’Hérode. Salomé danse et envoûte le roi ivre: « Demande-moi tout ce que tu voudras, fut-ce la moitié de mon royaume. » Ce sera la tête de Jean sur un plateau. Scène décrite, entre autres, dans l’Évangile de saint Marc, au chapitre 6″ (…)

Lire la suite de l’article en cliquant sur l’image:

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Historique

Durant l’Ancien Régime, le village dépendait du comté de Créhange, qui fut rattaché au royaume de de France en 1793.  L’église, quant a elle, a été bâtie en 1791, et son mobilier sculpté actuel a été mis en place en 1900.